Nouvelle histoire avec les muses qui ont bien profité du nouvel add-on.

Après-midi détente

Quand il s'agissait de trouver l'inspiration, les muses n'avaient pas vraiment de souci pour cela, surtout quand, lors de leurs jours de congés, elles obtenaient la permission d'aller faire une petite sortie dans un lieu de leur choix. Ce jour-là, Fairy, qui adorait la nature ainsi que les environs de Winderburg, avait réussi à convaincre la majorité de ses camarades - Alcidia avait refusé car il y avait le marathon de Willow Creek et Zeus aurait adoré venir mais Mnémé lui avait rappelé qu'il devait dîner avec sa femme et qu'il n'avait pas possibilité de décommander - d'aller se détendre en haut des falaises. Jaimie avait été assez récalcitrante à venir à cause de son côté solitaire mais Fairy, aidée par Salazar, avait réussi à la faire venir.

Billy : Oh Krikette d'amour...

Jaimie : Ne me fait pas regretter d'être venue Billy.  

Oui, Billy Novelli était présent et toujours en train de tenter sa chance avec celle qui lui avait, bien malgré elle, dérobé son coeur au premier regard. Jaimie ne pouvait pas compter sur ses camarades pour interrompre la cour assidue de celui qui s'était auto-proclamé comme étant son plus fervent prétendant...

Damien : Hey ! C'est un nouveau pantalon ?

Loren : Oui, j'avais envie de- Hey ! 

Damien : Il met très bien ton postérieur en valeur. 

Loren : Mes sous-vêtements aussi sont neufs.  

... Inutile de préciser qu'après ces derniers mots, Damien et Loren ont disparu dans un buisson pendant un bon moment, ce dont personne ne se soucia vraiment vu que tout le monde s'y était plus ou moins attendu.

Fairy : C'est vraiment aussi mal accordé que ça mes fringues ?

Salazar : Honnêtement, je te préfère avec ta robe habituelle. Je n'aime pas ce bonnet sur toi. 

Fairy : J'aurais essayé...  

L'excentricité de Fairy était toujours potentiellement dérangeante s'ils croisaient des humains mais par ici et en plein jour, les chances étaient faibles. Par contre, Jaimie suspectait fort qu'elle faisait exprès de monopoliser Salazar afin de laisser le champ libre à Billy.

Billy : Tes yeux sont tels un océan dans lequel...

Jaimie : Je vais te frapper Billy si tu continues...

Billy : Oh oui ! Gifle-moi avec ta douce main...  

... Cela risquait finalement d'être pire qu'avant si elle le frappait. Elle pouvait aussi tenter de l'ignorer mais elle savait depuis un moment que cela était totalement inefficace sur lui. Même ses anciens protégés qui avaient tenté de la séduire avaient laissé tomber au bout d'une dizaine d'échecs... et Billy s'approchait de plus en plus de la centaine.  

Mais le calvaire de Jaimie se stoppa quand Damien et Loren eurent fini leur petite affaire et que, déjà en maillot de bains, ils foncèrent en courant vers le bassin en criant "TOUS A L'EAU !!!", faisant que tous les suivirent.

Loren : BANZAI !!!  

Sauf que le plongeon de Loren fut assez violent pour éclabousser ceux qui étaient à proximité et pas encore prêts pour se baigner, à savoir Fairy et Salazar...  

Fairy : KYA ! NON MAIS TU VAS PAS BIEN TOI ?!

Loren : T'avais qu'à te mettre en maillot !

Fairy : Toi...

Salazar : On se calme tous les deux !   

Heureusement pour tous que Salazar était un excellent médiateur quand il s'agissait de séparer ces deux-là. 

Billy : Elle est super bonne l'eau !

Damien : Tiens ? Tu l'as trouvé où ton maillot Billy ?

Loren : Damien...  

C'est là que Damien se mordit la langue tandis que Billy s'éloignait très vite de Loren, connu pour être incroyablement jaloux. C'était d'ailleurs pour cette raison qu'il fut décidé que Damien et Loren n'iraient pas sur le plongeoir... 

Loren : T'oseras pas sauter Fairy !

Fairy : Bouh ! Tu me connais mal toi !

Loren : Tu vas perdre ton maillot en plongeant !

Fairy : Tu veux parier ?     

Et ce fut sous les encouragements de Damien et Billy que la muse des jardins se décida à plonger dans le bassin...

... et ce sans y laisser son maillot de bain. Évidemment, elle en profita pour tirer la langue à Loren avant de laisser de l'espace pour Jaimie qui venait de finir de se changer à l'abri des regards.    

Fairy : Vas-y Jaimie !

Jaimie : Je ne suis pas sure que ce soit une bonne idée...

Damien : Nous sommes entre nous donc tu ne crains rien.  

Toujours hésitante, Jaimie finit par se lancer mais ses appréhensions furent justifiées quand elle eu la mauvaise surprise de découvrir que son maillot de bain s'était déchiré et qu'il ne cachait plus rien...

Jaimie : AHHH !

Fairy : Wow...  

Et ce fut très rapidement que Jaimie alla se cacher afin de remettre un maillot de bain plus solide que le précédent, laissant ainsi la place à Billy qui, lui, avait prit son élan pour monter sur le plongeoir.

Billy : BANZAI !!!  

Autant dire que Billy avait réussi l'exploit d'éclabousser tout le monde autour de lui, faisant oublier à tous la petite mésaventure de Jaimie. Par contre, quand ce fut au tour de Salazar...

Fairy : Mais c'est quoi ça Moustache ?! 

Billy : Enlève ta chemise au moins !

Salazar : Je garde ma chemise, que ça vous plaise ou non !  

Sauf que Fairy ne comptait pas lâcher l'affaire de sitôt et, une fois qu'ils furent assis près du feu de camp, elle se hâta de coller sa chaise à celle de Salazar pour mieux le harceler.

Fairy : Que caches-tu donc Moustache ?

Salazar : Absolument rien !

Fairy : Alors enlève ta chemise !

Salazar : Tu peux toujours rêver !

Fairy : Je te jure qu'un jour je vais te l'arracher et voir ce que tu planques là-dessous...  

Pendant que Fairy essayait tant bien que mal de découvrir ce que Salazar cachait sous ses vêtements, Billy fit un signe discret à Jaimie pour lui demander, suite à sa mésaventure de tout à l'heure, si elle allait bien, ce qu'elle lui confirma de la même manière. 

Sonia avait bien planifié son coup avant de commencer à bouger : elle avait noté ce dont chacune avait besoin, prétextant qu'elle allait juste faire quelques courses. Puis au lieu d'aller à l'épicerie d'Oasis Springs, elle se rendit à Magnolia Promenade où elle fit le tour des magasins. D'abord, ayant vu que Camille n'avait pas de passion et qu'elle semblait encore se chercher, elle lui acheta quelques livres ainsi qu'un flacon de parfum que la jeune fille avait entouré dans un magazine.  

Pour ce qui était de Lacey, Sonia savait exactement quoi lui prendre et ainsi lui permettre de pleinement s'épanouir : une machine à coudre.  

Blanche lui avait dévoilé que Lacey passait son temps à dessiner des vêtements qu'elle rêverait de créer puis de vendre dans un magasin. Mais sans les matières premières pour ça, l'adolescente ne pouvait même pas toucher ce rêve et Sonia suspectait que cela devait la frustrer. La jeune fille se contentait donc de conseiller ses amies en matière d'habits, leur indiquant ce qui leur irait le mieux comme style et comme couleurs.   

Une fois rentrée, Sonia n'eut pas beaucoup de temps pour tout mettre en place avant le retour de filles. Elle put juste tout placer dans leur chambre quand elle entendit la porte d'entrée s'ouvrir. Blanche, l'ayant vue sortir de leur chambre, lui fit un clin d'œil complice et c'est avec un grand sourire qu'elle y traîna Camille sous le regard incrédule de Lacey... qui fut très intrigué quand Camille poussa un cri de joie avec un "Elle va être folle !" qu'il était difficile d'ignorer.   

Suspicieuse, Lacey regarda Sonia avec méfiance avant d'entrer dans la chambre... et de découvrir, émerveillée, une machine à coudre ainsi qu'un mannequin, des patrons et divers tissus que Sonia avait choisi en espérant que cela suffirait.   

Après que Sonia lui ait confirmé que c'était bien pour elle et qu'elle pouvait l'essayer tout de suite, Lacey se jeta dessus à toute vitesse pour étudier son fonctionnement puis elle récupéra un cahier dans son sac avant de se mettre au boulot .

Blanche lui avait apporté de quoi manger et quand elle revint dans la pièce à vivre, elle leur révéla que Lacey était en train de finaliser une robe. Sonia et Camille, leur curiosité piquée, allèrent voir et constatèrent que l'adolescente vérifiait son ouvrage avec soin et qui était une robe rouge sur laquelle Sonia ne put s'empêcher de flasher - dès qu'elle aura retrouvé sa silhouette et terminé cette mission, il faudra absolument qu'elle l'achète à Lacey.  

Bien entendu, l'adolescente, plus qu'heureuse de pouvoir enfin s'exprimer pleinement, ne s'arrêta pas là, ce qui fit faire quelques nouveaux aller-retour à Sonia pour lui racheter des tissus.

Bien qu'elle ne lui parlait que très peu, Lacey la tolérait bien mieux qu'au départ. Elle passait son temps libre sur sa machine à coudre à créer des habits pour elle mais aussi pour ses amies dont elle semblait connaître les mensurations exactes par cœur, probablement parce qu'elle projetait déjà depuis longtemps de les habiller elle-même.   

Sonia constata vite qu'elle avait bien cerné leurs goûts et personnalités.

Pour Blanche, tant que c'était pratique pour aller à l'extérieur, cela lui convenait. Cela fut probablement le première fois que Sonia la vit en jupe et le style était très différent mais en accord avec elle. 

Quant à Camille, la robe que Lacey lui fabriqua était d'une coupe simple mais élégante. De plus, le tissu choisi était original et il était clair que pour Camille qui cherchait encore sa place, cela pouvait l'aider à s'affirmer un peu.  

D'ailleurs, de ce que Sonia entendit, Camille avait commencé les livres qu'elle lui avait offerts.

- J'aurais jamais pensé trouver un livre de psychologie intéressant.

- Et de quoi ton bouquin parle au juste ?

- Ben en fait, il explique un peu qu'on est tous différents mais que chacun, à sa manière, cherchait le bonheur. Tout le monde n'y parvient pas mais chacun essaie.

- Et ça te parle ?

- Disons que je pense que je dois encore chercher mon bonheur à moi mais je pense que j'en suis pas loin. C'est juste que je n'ai pas un rêve comme toi ou un amour pour la nature comme Blanche.   

Camille se posait toujours des questions sur elle-même mais elle semblait assez sereine à présent. Sonia répondit à certaines de ses interrogations, essayant de la guider à travers ce brouillard via quelques conseils avisés.  

Quant à Lacey, Sonia avait pris le parti de laisser l'adolescente venir à elle, ce qui se fit une semaine plus tard quand elle lui demanda si elle pouvait prendre ses mesures. Le lendemain, Sonia eut une nouvelle tenue qui était à sa taille actuelle.

- C'est pas que je n'aimais pas vos habits mais ils ne convenaient pas à votre silhouette. Les imprimés, ça grossit encore plus.  

Bon, une petite pique sur son poids... Elle devait cependant admettre qu'elle se sentait bien mieux dans ces nouveaux vêtements qui en plus d'être agréables à porter étaient pratiques pour pas mal de choses. Qui plus est, Lacey devenait accessible bien qu'elle avait gardé sa méfiance naturelle.  

Mais le point noir restait ces fugues le samedi soir dont Sonia n'avait pas trouvé l'origine et, jusqu'à ce soir-là, elle ne pouvait guère maîtriser cela...

Mais cette fois-ci, les trois filles s'étaient séparées. Sonia ne comprenait pas ce changement de schéma mais il était sa seule chance de libérer au moins une des filles de cette mystérieuse emprise. C'est la piste de Lacey qu'elle remonta par hasard jusqu'à la petite rue marchande d'Oasis Springs.   

Un message de l'agence arriva pile au moment où elle repéra l'adolescente :  

"Le sifflement est produit par un émetteur et n'est perceptible que pour une oreille jeune comme un enfant ou un adolescent. Ensuite, celui qui les contrôlent doit avoir placé un récepteur sur elles afin de pouvoir les diriger à distance. Madeleine Vincent n'avait aucun implant donc ce doit être un objet que toutes les filles ont sur elles."

C'est après avoir empêché Lacey de forcer la porte d'un des magasins que Sonia comprit : le masque. Elle l'arracha du visage de l'adolescente avec colère et le jeta au loin. Quelques secondes après, l'adolescente cligna des yeux et regarda les alentours avec étonnement.  

- Mais qu'est-ce que... Comment sommes-nous arrivées là ?

- Tu étais manipulée Lacey et c'est aussi probablement le cas des autres filles.

- Et où sont elles ?!

- Je n'ai sais rien. Cette fois-ci, vous vous êtes séparées et j'ai perdu leur trace.  

Il y eu quelques secondes de silence puis Lacey la fixa avec méfiance.

- Vous êtes avec la police Madame Bertrand ?

- Non mais le lieutenant Padepo voulait continuer l'enquête contre l'avis de ses supérieurs. Madeleine était innocente pour lui.

- ... Elle va bien ?  

Sa couverture n'avait pas complètement sautée mais Sonia devait impérativement réussir à faire parler Lacey. Elle lui raconta donc les dernières nouvelles qu'il lui avaient été communiquées : Madeleine avait échappé de justesse à la prison grâce à l'acharnement du lieutenant de police - ainsi qu'une intervention discrète de l'agence - et avait été placée dans une famille d'accueil dans une autre région après avoir eu pour sentence des travaux d'intérêts généraux.  

- De ce que je sais, elle est en sécurité à présent mais ça ne nous dit pas qui...

- Vous avez retrouvé Lisa ?  

Le choix du verbe interpella Sonia. Lisa Mercante aurait disparu ? Pourtant, elle n'avait pas d'avis de recherche...  

- Non. Hugues dit qu'ils se sont disputés et qu'elle est partie ensuite.

- Ils se sont disputés mais Lisa ne serait jamais partie de son plein gré. Elle m'avait promis de m'aider à réaliser mon rêve et elle tenait ses promesses. Quand Hugues nous a dit ça, j'ai su tout de suite qu'il mentait et j'ai dis aux filles de ne pas lui faire confiance.  

Tiens donc... Si Lacey disait vrai, alors soit Lisa était détenue quelque part soit... elle n'était plus de ce monde. Cela expliquerait pas mal de choses.  

- Encore une chose : Lisa aussi avait des doutes sur son frère.

- Pour quelle raison ?

- Un soir, elle l'a vu avec un type bizarre en train d'échanger des enveloppes. J'ai vu ce type moi aussi et je suis quasi sure qu'il ne devait pas travailler dans le journalisme.

Série des muses - Nuit de folie : Ruines Anciennes

Quand les muses ne travaillent pas, elles restent généralement au palais pour perfectionner leurs talents en attendant qu'on leur trouve un nouveau protégé. Cependant, elles avaient aussi le droit de prendre un soir de congé afin de se détendre un peu et cela à la seule condition qu'elles ne se mêlent pas aux humains. En conséquence, il leur arrivait d'investir des lieux réputés vides afin de profiter de la nuit comme ils le désirait.

Cette fois-ci, leur choix se porta sur les Ruines de Winderburg, lieu choisi par Loren et leur soirée était dédiée à la danse, un thème choisi par Damien et qui convenait à tous ceux qui étaient disponibles ce soir-là, à savoir Jaimie, Fairy et Salazar, ce dernier s'étant proposé pour préparer quelques rafraichissements.

Même s'ils étaient invisibles aux yeux des humains, ils se devaient de ne pas trop sortir du lot d'un point de vue vestimentaire au cas où - tous avaient bien entendu longuement fixé Fairy jusqu'à ce qu'elle se décide à mettre une tenue moins excentrique. Ils avaient ensuite pu commencer leur petite fête privée où la danse était à l'honneur.

Loren : Ca t'arrives de mettre autre chose que du rose ?

Fairy : Bouh ! Et toi, c'est quand que tu arrêteras le beurre dans tes cheveux ?  

L'avantage de la danse était que cela permettait de régler pacifiquement quelques conflits via un duel endiablé sur la piste, chose que Fairy et Loren s'étaient empressés de faire.

Fairy : Oh oh ! Donc tu sais bouger ton postérieur autrement que sous des draps...

Loren : Dit celle dont la jupe est toujours trop courte.  

En même temps, Fairy n'avait pas eu le temps de choisir sa tenue et, effectivement, sa jupe avait tendance à remonter un peu trop et cela, au point que Damien avait vu sa culotte... La muse des jardins n'en était pas vraiment embarrassée, essentiellement quand elle vit le regard noir que Loren avait jeté à son compagnon.  

Le but de cette nuit était essentiellement de s'amuser et, une fois les petits conflits habituels réglés, tous se mirent à danser en groupe sur la piste de danse.

Certains comme Damien et Salazar se révélèrent être très à l'aise tandis que Jaimie, moins habituée à cela, peinait un peu à suivre le reste de la bande et que Fairy était gênée par sa jupe qui n'était pas idéale pour danser.  

Mais ils passèrent tous un bon moment à se défouler sur la piste et parvinrent à être assez synchrones une fois que chacun s'était adapté au rythme de la musique.

Sans conteste, Damien était le meilleur danseur de la bande et il montra donc quelques mouvements à ses camarades. Certes, ils n'allaient pas forcément réussir à reproduire certains pas à la perfection mais c'était un bon moyen d'animer efficacement leur petite fête improvisée.

... Même si, pour Damien et Loren, pimenter un peu celle-ci ne leur était pas difficile...

... Et que personne ne s'étonna de les voir disparaître durant une petite heure.

Jaimie : Je rêve Salazar où tu t'amuses bien ?

Salazar : Ha ha ha ! Cela faisait un moment que je n'avais pas dansé.

Fairy : Oh ? On ne dirait pas. 

Salazar : J'étais plutôt porté sur les danses en couple au départ, notamment le tango.  

Les filles échangèrent un regard en se disant que ce cher Salazar avait décidément plus de talents qu'il ne le montrait. 

Damien : Allez Jaimie ! Tu peux y arriver !

Jaimie : Les activités physiques ne sont pas vraiment mon truc tu sais...

Damien : Pour une muse qui aime la musique, ce serait dommage que tu sois mauvaise danseuse non ?

Fairy : Vas-y Jaimie !  

Oui, Damien servait aussi de professeur de danse pour ses camarades quand ils en avait besoin.

Quand le jour se montra, la fête des muses s'acheva et ils se hâtèrent de tout remballer puis de rentrer au palais... où Zeus se lamenta un bon moment car il n'avait pas été invité.